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Un ciel lourd que la nuit bien avant l’heure assiège,
Un fleuve, bloc de glace et que l’hiver ternit
Et des filets de poussière de neige
Tourbillonnent sur des quais de granit…

La mer se ferme enfin… Le monde recule,
Le monde des vivants, orageux, tourmenté…
Et bercée aux lueurs d’un vague crépuscule,
Le pôle attire à lui sa fidèle cité.


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